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Fin de complaisance avec les casseurs à Amiens

Les bien-pensants estiment qu’il faut encore aider les familles de ces pauvres casseurs qui se sentent rejetés par la société. Je dis non !

Ils détestent la France et l’ordre républicain, ils détestent notre ville d’Amiens, malgré les centaines de milliers d’euros qui sont versés chaque année pour tenter de leur rendre la vie plus facile, en subventionnant des acteurs sociaux qui se donnent à fond pour les aider, en finançant des clubs sportifs avec des animateurs de qualité, en construisant pour leurs frères et soeurs des médiathèques, en leur versant des aides financières comme le RSA contre aucune contrepartie de travail ou de service rendu à leur pays ou à leur ville.

Et pourtant, ils cassent, ils brûlent et ils veulent tuer du flic. Remettre plus d’argent n’est pas la solution. On doit s’occuper de ceux qui veulent s’en sortir et en contrepartie punir ceux qui nous crachent au visage. L’Etat doit prendre des mesures fortes, et la ville doit explorer toutes les possibilités légales pour diminuer ou supprimer les aides aux parents qui laissent sortir leurs enfants mineurs pour détruire Amiens. Quant aux casseurs eux-mêmes, une fois identifiés, qu’on les prive de tous ces petits cadeaux dont ils bénéficient si souvent pour acheter la paix sociale : des entrées gratuites au stade de la Licorne, dans les piscines, et tout futur poste de vacataire ou de contrat aidé à la mairie. On ne peut plus supporter d’embaucher ceux qui cassent Amiens. Il y a assez de jeunes méritants qui aiment leur ville et qui ont besoin d’être aidés pour disperser l’argent public et le dilapider vers des casseurs ou leurs familles qui parfois les encouragent.

Je refuse que cette thématique soit l’exclusivité du Rassemblement National. C’est justement en ayant des positions pleutres et sans courage sur ce sujet qu’on laisse ce parti prendre des voix à ceux qui se lèvent tôt, travaillent et payent des impôts.